CAS PARTICULIER
    Quand le paratonnerre radioactif est en mauvais
    état et menace de tomber sur la voie publique,
    c’est une brigade du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) spécialisée
    dans les risques technologiques qui intervient.
    Les équipes reçoivent pour cela une formation spécifique de la part de l’Andra.
  Étape n°4 : En route pour le site de stockage
  Voir une intervention
  
  À quoi reconnaît-on un paratonnerre radioactif ?
  
  Avant de partir, les techniciens vérifient qu’aucun élément radioactif ne subsiste sur la zone d’intervention et effectuent le nettoyage complet du site.
  Le colis est transporté et conservé dans les locaux de la société d’intervention, jusqu’à son enlèvement par l’Andra.
  Le colis pris en charge par l’Andra part pour le Centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires) dans l’Aube.
  
  Sauf si le bâtiment appartient à une installation nucléaire ou classée défense. Les particuliers, les communes ou les établissements publics qui demandent l’enlèvement d’un paratonnerre radioactif peuvent bénéficier d’une aide publique (uniquement pour la prise en charge finale du paratonnerre par l’Andra).
  Puis les deux attaches du mât, la « tête » et les 3 tiges appelées « moustaches » sont découpées au sol.
  Étape n°1 : Une intervention bien sécurisée
  Étape n°3 : La préparation d’un colis de déchets radioactifs
  Les têtes de paratonnerre radioactifs sont considérées comme des déchets
    de faible activité à vie longue (FA-VL), une catégorie de déchets qui ne disposent pas aujourd’hui de solution de gestion à long terme.
    Elles sont donc entreposées temporairement dans un bâtiment dédié, au Cires, dans l’attente de la mise en œuvre d’une solution de stockage définitive.
  Dans la zone d’intervention, ils procèdent aux mesures radiologiques de chaque composant du paratonnerre.
  Ils portent sur eux un dosimètre
    pour contrôler en temps réel la dose
    de radioactivité potentiellement reçue.
  Les techniciens spécialisés préparent leur intervention suivant
    un protocole bien défini. Ils enfilent un équipement de protection individuelle (EPI) à usage unique (combinaison soigneusement ajustée, lunettes et gants).
  Ils accèdent au toit au moyen d’une nacelle.
  Ils sécurisent le périmètre en balisant au sol une zone interdite au public d’un rayon de 5 mètres.
  Étape n°2 : Le démontage et la dépose, une phase délicate
  Seules des sociétés spécialisées, agréées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN),
    peuvent remplir cette mission délicate. Contactées par les particuliers ou les collectivités,
    elles prennent en charge toutes les phases de l’opération de dépose jusqu’à la collecte du colis de déchets radioactifs par l’Andra. Le démontage d’un paratonnerre radioactif n’est toutefois pas obligatoire. S’il ne menace pas de tomber ou s’il n’est pas en mauvaise état, un paratonnerre radioactif ne représente aucun danger.
  Interdits à la fabrication et à la vente depuis 1987, on trouve encore, sur nos toits, d’anciens paratonnerres radioactifs.
    Lorsqu’ils sont identifiés, ces modèles peuvent être démontés.
    Une opération qui ne s’improvise pas !
    Comment fait-on en pratique ? Explications.
  Ces éléments sont ensuite emballés
    dans de l’aluminium plastifié et conditionnés
    dans un fût homologué et étiqueté.
    Ce colis de déchets est prêt pour le transport.
  Démonter les anciens paratonnerres,
    une affaire de spécialistes !
  Ils procèdent au découpage du paratonnerre
    qui est descendu du toit. Les techniciens effectuent la totalité de cette opération
    à deux pour éviter de faire tomber
    le paratonnerre car il est lourd (20 kg environ).
  Les paratonnerre radioactifs ont plusieurs aspects.
    Tous comportent un risque de contamination
    en cas de contact physique.
  Étape n°2 :
    Le démontage
    et la dépose,
    une phase délicate
  Le colis pris en charge par l’Andra part pour le Centre industriel
    de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires)
    dans l’Aube.
  
  Seules des sociétés spécialisées, agréées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), peuvent remplir cette mission délicate. Contactées par les particuliers
    ou les collectivités,
    elles prennent en charge toutes
    les phases de l’opération
    de dépose jusqu’à la collecte
    du colis de déchets radioactifs
    par l’Andra. Le démontage d’un paratonnerre radioactif n’est toutefois pas obligatoire.
    S’il ne menace pas de tomber
    ou s’il n’est pas en mauvaise état, un paratonnerre radioactif
    ne représente aucun danger.
  Dans la zone d’intervention,
    ils procèdent aux mesures radiologiques de chaque composant du paratonnerre.
  Sauf si le bâtiment
    appartient à une installation nucléaire ou classée défense.
    Les particuliers, les communes ou les établissements publics qui demandent l’enlèvement d’un paratonnerre radioactif peuvent bénéficier d’une aide publique (uniquement pour
    la prise en charge finale
    du paratonnerre par l’Andra).
  Interdits à la fabrication 
    et à la vente depuis 1987,
    on trouve encore, sur nos toits, d’anciens paratonnerres radioactifs. Lorsqu’ils sont identifiés, ces modèles peuvent être démontés. Une opération
    qui ne s’improvise pas !
    Comment fait-on en pratique ? Explications.
  Ils portent sur eux un dosimètre
    pour contrôler en temps réel
    la dose de radioactivité potentiellement reçue.
  Elles sont donc entreposées temporairement dans un bâtiment dédié, au Cires, dans l’attente de la mise en œuvre d’une solution de stockage définitive.
  Puis les deux attaches du mât,
    la « tête » et les 3 tiges appelées « moustaches » sont découpées au sol.
  Ces éléments sont ensuite emballés dans de l’aluminium plastifié et conditionnés
    dans un fût homologué
    et étiqueté. Ce colis de déchets est prêt pour le transport.
  Ils procèdent au découpage
     du paratonnerre qui est descendu du toit. Les techniciens effectuent la totalité de cette opération
    à deux pour éviter de faire tomber le paratonnerre car il est lourd (20 kg environ).
  Étape n°1 :
    Une intervention
    bien sécurisée
  Les techniciens spécialisés préparent leur intervention suivant un protocole bien défini. Ils enfilent un équipement
    de protection individuelle (EPI)
    à usage unique (combinaison soigneusement ajustée, lunettes et gants).
  Démonter
    les anciens
    paratonnerres,
    une affaire
    de spécialistes !
  Étape n°3 :
    La préparation
    d’un colis de déchets radioactifs
  Les têtes de paratonnerre radioactifs sont considérées comme des déchets
    de faible activité à vie longue
    (FA-VL), une catégorie de déchets qui ne disposent pas aujourd’hui de solution de gestion
    à long terme.
  
  Ils accèdent au toit
    au moyen d’une nacelle.
  CAS PARTICULIER
    Quand le paratonnerre radioactif est en mauvais état et menace
    de tomber sur la voie publique,
    c’est une brigade du Service départemental d’incendie
    et de secours (SDIS) spécialisée
    dans les risques technologiques qui intervient. Les équipes reçoivent pour cela
    une formation spécifique
     de la part de l’Andra.
  Étape n°4 :
     En route pour
    le site de stockage
  Le colis est transporté
    et conservé dans les locaux
    de la société d’intervention, jusqu’à son enlèvement
    par l’Andra.
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