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Décryptages

La rubrique décryptage vous propose d’approfondir certains sujets liés aux activités de l’Andra.
À travers différents articles, différents formats et une approche résolument pédagogique, vous aurez toutes les informations pour mieux comprendre la gestion des déchets radioactifs.

Déchets radioactifs : fini les idées reçues !

Que connaissez-vous de la radioactivité et des déchets radioactifs ? Savez-vous d’où ils viennent, comment ils sont produits et à quoi ils ressemblent ? Peut-on s’en débarrasser et comment s’en protéger ? Sont-ils vraiment tous dangereux ? Ce sujet, qui nous concerne tous, ne doit pas être réservé aux experts. Pour avoir des réponses concrètes, suivez notre guide interactif !

Pour que demain, ils se souviennent…

Dangereux pour l’Homme et l’environnement, les déchets radioactifs doivent être isolés et confinés tout le temps qu’ils présentent des risques. C’est pourquoi l’Andra déploie des solutions de stockage, en surface ou en profondeur, dans des installations dédiées qui, une fois fermées, et après une période de surveillance, ne nécessitent aucune intervention de la part des générations futures.

Mais lorsqu’il est question de durées allant de quelques dizaines d’années à plusieurs centaines de milliers, la mémoire revêt un enjeu particulier et doit être préservée et transmise dès aujourd’hui… et pour demain. C’est l’ambition du « programme Mémoire » de l’Andra. Il vise à nourrir la conscience de l’existence des centres de stockage au présent et à réfléchir aux solutions qui permettront de transmettre et prolonger le plus longtemps possible la mémoire de ces installations. Un défi à relever de génération en génération.

Aléas naturels : comment ­parer aux risques

Qui dit sûreté des installations de stockage des déchets radioactifs, dit prise en compte rigoureuse de tous les risques. Si l’Andra s’assure d’éviter et de prévenir ceux liés à ses activités, elle se mobilise également pour se prémunir contre les aléas naturels. Souvent imprévisibles et potentiellement dangereux, les phénomènes naturels et leurs impacts doivent être appréhendés avec la plus grande rigueur et faire l’objet d’un suivi méticuleux. Sur quelle méthodologie et sur quelle expertise s’appuie l’Andra ? Quels sont les risques étudiés ? Comment sont-ils pris en compte dans ses installations ? Que dit la règlementation ? Et quels contrôles et systèmes de surveillance sont prévus ? Décryptage.

Les dessous du Labo - 20 ans au coeur de l’argile

A quoi sert le laboratoire souterrain de l’Andra ? Qui sont les femmes et les hommes qui y travaillent ?  En quoi consistent leurs recherches et pour quels résultats ? A l’occasion des 20 ans du Laboratoire souterrain de l’Andra, redécouvrez l’histoire, au cœur de l’argile, d’une infrastructure scientifique hors du commun dédiée à la conception du projet Cigéo.

Hydrogéologie : la science des eaux souterraines au service de la surveillance

Focus sur l'hydrogéologie, une expertise essentielle dans le cadre du programme de surveillance de l'environnement du Centre de stockage de la Manche.

Stockage des déchets radioactifs  : la situation à l’international

Les pays qui utilisent les propriétés de la radioactivité, que ce soit pour produire de l’énergie, pour la médecine et la recherche, ou pour certaines activités industrielles ou militaires, sont tous confrontés à cette même responsabilité : gérer en toute sûreté et sécurité, sur le long terme, les déchets générés par ces activités, dont certains resteront radioactifs pendant plusieurs centaines de milliers d’années. Si la maturité des filières de stockage des déchets radioactifs varie d’un pays à l’autre, la coopération internationale est indispensable. Pilotage de projets internationaux, accueil et formation d’experts étrangers, partage et transfert de connaissances… L’Andra participe activement à cette coopération et partage son savoir-faire et son expérience.

50 ans du Centre de stockage de la Manche (1969-2019)

Avec le développement de la production nucléaire d’électricité dans les années cinquante et soixante, une prise de conscience s’opère : il faut une solution de gestion durable et sûre pour les déchets radioactifs.

Plusieurs pistes sont envisagées, dont l’immersion de ces déchets en mer. Mais rapidement, la création d’un centre unique dédié au stockage en surface de déchets radioactifs produits sur le territoire national est retenue. Un terrain d’environ 14 hectares appartenant alors au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) situé à La Hague est choisi pour accueillir cette nouvelle installation. Le Centre de stockage de la Manche (CSM) réceptionnera son premier colis de déchet en 1969.

Progressivement, la gestion des déchets radioactifs devient une activité industrielle à part entière. Durant 25 ans, l’exploitation du CSM va permettre de poser les bases des dispositifs de stockage des déchets de faible et moyenne activité.

Après l’arrêt de son exploitation en 1994, le Centre de stockage de la Manche connaît une nouvelle vie. Surveillance de la couverture, de l’environnement, travail collectif pour la conservation et la transmission de la mémoire du stockage, échanges et dialogue avec le territoire et les habitants : le centre est « fermé », mais il reste un lieu d’enseignements et d’échanges pour les professionnels comme pour les citoyens d’aujourd’hui et de demain.

À l’occasion des 50 ans du centre, nous vous invitons à redécouvrir son histoire. Une façon de mieux comprendre les choix d’aujourd’hui et les enjeux de demain en matière de gestion des déchets radioactifs.

Projet de développement du territoire : une vision pour l’avenir, des outils pour agir

Le 4 octobre 2019, l’État, les collectivités locales de la Meuse et de la Haute-Marne, les acteurs industriels et institutionnels du territoire ont signé le « projet de développement du territoire ». Ce document stratégique constitue une opportunité unique de développement pour le territoire. À travers l’accompagnement des entreprises et des futurs salariés, les logements, les services à la population, les infrastructures de transports, les équipements scolaires et périscolaires, sportifs ou de loisirs... le projet de développement du territoire (PDT) anticipe les besoins liés à l’implantation de Cigéo. Il vise aussi à contribuer à l’amélioration de la qualité de vie en Meuse et en Haute-Marne.

Surveillance de l’environnement : le rôle de l’hydrogéologie, science des eaux souterraines

La surveillance de l’environnement est au coeur du métier de l’Andra, et des activités de ses centres industriels dans l’Aube. La mission de l’Agence : protéger l’homme et l’environnement, le temps que la radioactivité contenue dans les déchets décroisse et ne présente plus aucun risque. Cette surveillance repose sur une connaissance fi ne du milieu géologique et de l’environnement. Elle implique de nombreuses disciplines scientifi ques, parmi lesquelles la « science des eaux souterraines » : l’hydrogéologie. En quoi consiste-t-elle et comment participe-t-elle au dispositif de surveillance des centres de stockage ? Le point sur une expertise incontournable.

Les géosciences : au coeur des activités de l’Andra

Pour étudier le stockage géologique profond et concevoir Cigéo, l'Andra mène depuis 25 ans des recherches et expérimentations dans différentes disciplines scientifiques. Géologie, géophysique, géochimie, hydrogéologie, etc., qu’il s’agisse d’analyser l’environnement géologique du stockage ou les interactions entre les matériaux et la roche, de comprendre le comportement de l’argile ou l’évolution du site d’accueil de Cigéo… les géosciences constituent le fondement du projet de stockage géologique et se trouvent au coeur des activités de l’Andra. Mais les connaissances acquises et les outils scientifiques développés par l’Agence dans ce domaine ne contribuent pas uniquement au projet Cigéo. Ils forment également un socle de données très précieuses pour l’ensemble de la communauté scientifique française et internationale. Focus sur une expertise partagée.

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